En 2015, il finit une thèse de doctorat en science politique
à l'université de Paris Nanterre :
Parler et agir au nom des bêtes.
Production, diffusion et réception
de la nébuleuse idéologique animaliste
(France et Grande-Bretagne, 1760-2010)
.
En 2018, est publié son article
Politiser le désarroi militant.
Histoire sociale de la végéphobie
dans le mouvement animaliste français
dans le second volume
de Biens symboliques.