Nicolas Treich et les animaux non-humains

Nicolas Treich est un économiste français, de tendance capitaliste de droite (car il a entre autres par exemple retweeté un message du 9 aout 2020 vantant Jean Tirole et son pseudo-prix Nobel, pseudo parce que notamment inexistant pour le champ économique et que certains confondent ou font mine de avec le prix de la banque de Suède en mémoire d'Alfred Nobel, mais surtout ce Jean Tirole est un sinistre personnage étant au service du Capital et particulièrement orthodoxe à son époque, ainsi qu'un expansioniste de l'analyse de marché au-delà de celui-ci avec forcément ses apories). De plus, en 2020 au moins, on peut noter que son nombre de ses écrits, son CV et même son site web sont sous la coupe de Google (alors qu'il est aisé de faire autrement ou juste de faire sans une présence web), symptôme assez explicite (une fois remarquée) de son non-intérêt pour entre autres le respect de la vie privée (dont la violation massive est au coeur du modèle de Google) et la socialisation étatique de certains revenus par l'impôt (car est bien connu l'usage de mécanismes d'évasion fiscale par la firme, via des enfers fiscaux, que certains contestataires inconséquents qualifient dans la logique de l'ennemi de paradis !). Il s'intéresse publiquement entre autre à l'environnement et au zoonimalisme. Pour parler d'un de ses méta-sujets de recherche en rapport avec le zoonimalisme via une grille économique, il parle de veganomics. Il travaille ou a travaillé au sein de Toulouse School of Economics et l'INRAE (Institut National de la Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement), ainsi qu'au groupe de recherche abrégeable par EAVCA pour Économie de l'Alimentation Végétale et de la Condition Animale.