Le média Brut et les animaux non-humains
Brut est un média web généraliste. Au moins jusqu'en 2023 compris, son format principal est la vidéo, qui est écologiquement le pire.
Pour Brut, les animaux non-humains (ou zoonimaux) sont un sujet comme un autre, ce qui est cohérent avec son caractère généraliste. Et, au moins jusqu'en 2023 compris, il n'a pas une position socialement hétérodoxe vis-à-vis des animaux non-humains sentients. Par conséquent, au moins jusqu'en 2023 compris du moins, le fait de les exploiter et les tuer sciemment et en l'absence de nécessité ne lui pose pas de problème, mais cela ne lui interdit pas pour autant de parler de zoovéganisme.
Actualités
- Le 18 décembre 2020, est publié "Ynsect veut nourrir les animaux avec des insectes".
- Le 10 février 2021, est publié "Chloé Tesla, mannequin et militante végane".
- Le 28 décembre 2022, est publié "Anne-Claire Chauvancy, présidente d'Action Protection Animale".
- Le 8 octobre 2023, est publié "Pourquoi les fermes d'élevage intensif de pieuvres inquiètent" sur l'ordinato-plateforme privatrice et centralisée YouTube du Big Brother capitaliste Google. Le 11 octobre, c'est publié sur le site web du média. Évidemment ce qui est mis en débat n'est pas la sentience des pieuvres, mais leurs potentielles spécificités par rapport aux autres animaux non-humains sentients. La sentience est certes toutefois mentionné, mais c'est ici secondaire, ce qui est tout à fait logique, puisque le cas échéant la focalisation sur les pieuvres n'aurait aucun sens. De plus, notons que comme argument pour est mentionné la moindre pêche d'individus sauvages, écologique anthropo-exclusive oblige.
- Le 30 novembre 2023, est publié "Un des fournisseurs des crêpes Whaou! visé par L214". Le problème serait les conditions d'exploitation des vaches et non l'exploitation elle-même et la mise à mort des mères devenues insuffisamment productives et des salopards de gosses qui voudraient boire le lait qui leur est destiné. Sébastien Arsac, qui intervient pour porter la parole de L214, appelle Whaou! à prendre ses responsabilités en ne se fournissant plus apurès de l'élevage incriminé. Il n'appelle même à boycotter les produits Whaou! tant que le problème présenté n'est pas règlé. Évidemment il appele encore moins, même très implicitement, à boycotter autant que faire se peut les produits zoonimaux et Whaou! à ne proposer que des produits végans. Pourtant stratégiquement, même d'un point de vue bien-êtriste / welfariste, la dénonciation n'est qu'un moyen pour engendrer de l'action qui fasse mal ou une peur suffisamment grande de l'action. Puisqu'il est improbable qu'il y ait action et Whaou! le sait très bien, pourquoi s'embêter à changer ? pourquoi dépenser du temps et donc de l'argent pour non-risque et une non-opportunité ?
- Le 30 décembre 2023, est publié "Si le monde entier devenait vegan…".
- Le 28 décembre 2023, est publié "À bord du Walrus, le bateau de Sea Shepherd financé par le Z Event".
- Le 5 janvier 2024, est publié "Où en est la loi interdisant la vente de chiens et de chats dans les animaleries ?".