Le journal "L'Obs" et les animaux non-humains
L'Obs est un journal français. Au début du 21ème siècle, c'est un journal de droite (donc capitaliste). Puisque l'animalisme n'est nullement au coeur de son idéologie, il peut se permettre d'avoir une position changeante sur ce sujet.
Actualités
- Le 23 octobre 2020, est publié "Un zoo du Tarn fermé par les autorités pour cause d'animaux « faméliques » et d'enclos « insalubres »".
- Le 24 octobre 2020, est publié "Le super-pouvoir de Diabolicus le scarabée pourrait améliorer la sécurité des avions" de Jean-Paul Fritz.
- Le 27 octobre 2020, est publié "Y a-t-il un paradis des animaux ?" de Jean-Paul Fritz.
- Le 28 octobre 2020, est publié "Poux sur les œufs, souris mortes... L'enfer d'un élevage de 200 000 poules en cage dans l'Oise".
- Le 4 novembre 2020, est publié "Covid-19 : le Danemark va abattre 15 millions de visons à cause d'une mutation du virus".
- Le 5 novembre 2020, avec une mise-à-jour le 10, est publié "Les visons vont-ils créer le « Covid-20 » ?" de Jean-Paul Fritz.
- Le 19 novembre 2020, est publié "« On entend les pattes se briser » : dans l'enfer du quotidien d'un ramasseur de volailles".
- Le 23 novembre 2020, est publié "Visons abattus à cause du Covid : au-delà des chiffres, il y a des bêtes" d'Arnaud Gonzague.
- Le 22 février 2021, est publié "Cantines sans viande à Lyon : « On diabolise les Verts, c'est une habitude »" par Arnaud Gonzague. Il est une habitude de la presse bas de gamme (ou à minima ayant une partie peu reluisante et sans grand intérêt, si ce n'est de faire du clic pour afficher de la publicité et faire du fichage) de s'intéresser à la moindre polémique et de contribuer à lui faire prendre de l'importance.
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Le 23 février 2021, est publié
"Cantines sans viande à Lyon : comment la polémique a pris une tournure nationale".
Comme le résume très bien un commentaire d'un·e internaute,
tout est bon pour clientéliser pour 2022, ç'en est à vomir !
Un·e autre internaute, dit Monsieur Jean, prend la chose sur un bon ton ironique :Reconnaissons qu'auprès des enfants, en soutien aux sciences naturelles à l'école, manger du poisson carré avec les yeux dans les coins, ça forme le goût et ça met en valeur la richesse de la biodiversité. Quand aux oeufs produits dans des HLM par des méres porteuses nourries aux farines de poissons, rien ne se perd. Et au soja importé d'Amazonie ou d'Indonésie, que vont-ils leur trouver comme mérite ? Que dire du poulet sans plume, sans doute la nouvelle création de l'INRA, à la peau couverte de chapelure.