Estiva Reus et les animaux non-humains
Estiva Reus est une femme née au 20ème siècle. Elle serait économiste de formation. Mais son activité publique n'est pas là-dedans mais sur l'animalisme.
Actualités
- Dans les cahiers antispécistes n°11, est publié en décembre 1994 son article "Par solidarité avec le tiers-monde, mangeons du foie gras".
- Dans les cahiers antispécistes n°17, est publié en avril 1999 son article "La raison et la pitié".
- Dans les cahiers antispécistes n°20, est publié en aout 2001 son article "Francis Kaplan : Variation sur le propre de l'homme".
- Dans les cahiers antispécistes n°22, est publié en février 2003 son article "Lyncher pour ne pas être lynché ? Réflexions sur les réactions suscitées par « Heavy Petting » de [Peter] Singer".
- En novembre 2005, est publié "La science et la négation de la conscience animale – De l'importance du problème matière-esprit pour la cause animale" / "Science and the Denial of Animal Consciousness – Mind-Matter for Animals Matters" dans les Cahiers antispécistes numéro 26. Elle a co-écrit cet article avec David Olivier.
- Dans les cahiers antispécistes n°39, est publié en mai 2017 son article "Le paradis, sinon rien ? Imaginaires d'un monde meilleur".
- En mai 2018, est publié le numéro 41 des cahiers antispécistes. Il s'agit d'un numéro spécial : c'est un livre. Il est entièrement écrit par Estiva Reus et se nomme "Éliminer les animaux pour leur bien : promenade chez les réducteurs de la souffrance dans la nature". Thomas Lepeltier y a répondu avec son article "Se soucier des animaux sauvages, réponse à Estiva Reus, Éliminer les animaux pour leur bien (2018)" publié le 7 novembre 2018 sur le Web chez la revue l'Amorce.
- Le 14 mai 2020, elle publie sur son blogue "Les véganes sont-ils stigmatisés ?". C'est à une réaction à l'article, publié en 2019 dans Appetite, "If I became a vegan, my family and friends would hate me: Anticipating vegan stigma as a barrier to plant-based diets" de Kelly L. Markowski et Susan Roxburgh.
- Le 1er juillet 2020, elle publie sur son blogue "Les croquettes et pâtées pour chiens et chats causent-t-elles le quart des dégâts imputables à l'élevage ?".