François Jaquet et les animaux non-humains

François Jaquet est un homme blanc. Il est ou a été professeur en éthique.

Actualités

• Le 18 mai 2016, avec mise à jour le 10 juin 2023, est publié "Deux jeunes chercheurs expliquent pourquoi «Antispéciste», le dernier livre d'Aymeric Caron, n'est pas vraiment antispéciste" chez Le Temps. C'est un article que François Jaquet a co-écrit avec Florian Cova.
• Le 26 aout 2017, est publié "Pourquoi le spécisme est injuste (au même titre que le racisme ou le sexisme)" par Le HuffPost. Mais la vidéo, c'est plus susceptible de disparaitre que le texte (beaucoup plus léger, donc pas externalisé).
• Le 30 avril 2018, il envoie le texte "A debunking argument against speciesim", qui sera accepté le 2 janvier 2019 et enfin publié en ligne le 12 janvier 2019.
• Le 28 février 2019, est publié son article "Bienheureux les animaux car ils ne savent pas lire, à propos de Frédéric Lenoir, Lettre ouverte aux animaux (et à ceux qui les aiment) (2017)" par la revue L'Amorce.
• Le 24 mars 2019, est publié son article "Lire Paul Ariès sans culpabiliser, à propos de Paul Ariès, Lettre ouverte aux mangeurs de viande qui souhaitent le rester sans culpabiliser (2019)" par la revue L'Amorce.
• Le 2 octobre 2019, est publié son article "Le véganisme est-il une position morale ?" par la revue L'Amorce.
• Le 2 avril 2021, est publié "Animaux, végétaux, robots : envers qui avons-nous des devoirs moraux ?" avec Martin Gibert et Valéry Giroux pour The Conversation. Le 5 avril, ça a été republié par L'Amorce.
• Le 22 novembre 2021, est publié son article "Faut-il se fier aux intuitions spécistes ?" par la revue L'Amorce.
• Le 3 janvier 2022, est publié son texte "Socrate n'a qu'à bien se tenir ! À propos de Michael Huemer, Dialogue entre un carnivore et un végétarien (2021)" par la revue L'Amorce. Sur l'ordinato-plateforme privatrice et centralisée Twitter, il s'auto-commente ainsi : Le Dialogue constitue à ce jour la meilleure défense argumentée du véganisme à destination du grand public. Dans l'article, il n'était pas moins élogieux : Dans son avant-propos, Peter Singer adresse à Huemer un joli compliment. […] Ce compliment n'est pas immérité. Le Dialogue constitue à ce jour la meilleure défense argumentée du véganisme à destination du grand public. En page 53 de son livre, Michael Huemer disait pourtant tranquillement on pourrait produire de la viande humainement [comme si l'humain était bon en soi, comme si Adolf Hitler et Joseph Staline n'étaient eux par exemple pas humains, niaiserie humaniste classique], sans toute cette cruauté. Ainsi, en principe, il pourrait y avoir une industrie de la viande moralement acceptable, auquel cas on pourrait [éthiquement] manger la viande qui en serait issue. Et ce n'est pas une pensée évitable dans la lecture, car Michael Huemer répète à gogo dans son livre que pour lui le problème c'est l'élevage industriel / intensif, or qualifié l'élevage c'est ne pas parler de l'élevage en toute généralité. Et on pourrait rajouter que Michael Huemer évoque quasi-exclusivement la viande, alors que le véganisme ne s'y limite pas, bien au contraire, il concerne tous les aspects de la vie (habillement, cosmétique, loisir, transport, etc.), dont l'alimentation dans son ensemble (donc pas juste la chair). Mais pouvait t'on s'attendre à autre chose ? Le titre du livre n'était t'il pas déjà un sacré indice ? François Jaquet a t'il lu le livre ? sérieusement ? On pourrait tenter d'arguer qu'il n'a pas lu l'adaptation en livre, mais le texte d'origine (publié en autonome 2018 dans le volume 22 de Between the Species) et que celui-ci n'aurait pas le problème, mais ce serait en vain (en page 51 : meat could be produced humanely, without all this cruelty. Therefore, in principle, there could be a meat industry that was morally okay, in which case it would be okay to eat the meat it produced.  ; en page 114 : I focus on factory farming because it's the source of nearly all animal products. I figure I should first try to dissuade people from doing the clearly terrible thing that almost everyone is doing every day (buying from factory farms), before worrying about something that a tiny minority of people are doing that's much less bad but might still be unethical (buying from humane farms).  ; en page 115 : I'd have to figure out whether it's permissible to kill animals humanely for food. For that, I'd have to figure out whether they have a right to life. And for that, I guess I'd have to first figure out what's the basis for the right to life in general […] but the moral philosophers don't agree. ). Mais en réalité, cela n'a rien de surprenant, le préfacier ovationné n'est pas n'importe qui, c'est Peter Singer.
• Le 24 mai 2022, est publié son texte "Non, les animaux n'ont pas de devoirs moraux" chez The Conversation.
• Le 4 octobre 2022, est publiée la déclaration de Montréal sur l'exploitation animale par le Groupe de Recherche en Éthique Environnementale et Animale (affilié au Centre de Recherche en Éthique). François Jaquet en est signataire et en fait même à l'initiative avec Martin Gibert et Valéry Giroux.
• Le 28 octobre 2022, est publié son article "Réponse aux défenseurs de l’exploitation animale" par la revue L'Amorce.
• Le 10 juillet 2023, est publié "L'animalisme inefficace. À propos de Carol Adams, Alice Crary et Lori Gruen (dir.), The Good It Promises, the Harm It Does (2023)" de Richard Yetter Chappell par la revue L'Amorce. Il l'a écrit en anglais et c'est François Jaquet qui en a fait la traduction en français.
• Le 12 avril 2024, est publié "L'exactitude du crime et le mille-feuille de l'oppression, à propos du Pire des maux de François Jaquet" de Nicolas Tavaglione par la revue L'Amorce.
• Le 27 mai 2024, est publié "Une défense de l'analogie spécisme-racisme, bonnes feuilles de Le pire des maux. Éthique et ontologie du spécisme (2024) de François Jaquet" chez la revue L'Amorce.

Références externes

• Site web personnel
• Revue L'Amorce
• Université de Strasbourg
• Centre de Recherche en Éthique de Montréal
• Compte informatique JaquetFrancois sur le privateur et centralisé Twitter/X