Le journal "Le Point" et les animaux non-humains

Le Point est un journal fait en France et en faveur du capitalisme. Il a été créé en 1972.

Actualités

• Le 1^er février 2012, est publié "Delphine Wespiser, Miss France 2012: la belle aime les bêtes".
• Le 15 mai 2012, est publié (avec AFP) "Brigitte Bardot propose de prendre la place de Paul Watson en prison".
• L'article de Constance Gay intitulé "En 2050, tous végétariens !" a été publié le 5 septembre 2012 par Le journal Le Point puis mis à jour le 19 février 2013. C'est à propos de nourrir l'humanité, sans la moindre considération pour les animaux non-humains.
• Le 13 janvier 2013, le site web "la Terre d'abord !" publie un articlé nommé "Le végétarisme français, cet anti-universalisme".
• Le 8 aout 2013, est publié "Les tribulations d'un végétarien à Paris" de Sofia Fischer.
• Le 10 décembre 2013, le site web "la Terre d'abord !" publie un articlé nommé "Le magazine Le Point consacré aux animaux".
• Le 8 octobre 2015, est publié une entrevue d'Yves Jégo par Constance Assor. Le bout de phrase mis en exergue dans le titre est "un menu végétarien qui respecte les convictions de tous".
• Le 17 janvier 2017, est publié "Allemagne : végan, mais pas trop" par Frédéric Therin.
• Le 22 février 2017, Le Point publie "Pourquoi les végétariens vivent plus longtemps que les autres" de Melody Ding.
• Le 29 novembre 2017, est publié (avec AFP) "Cantines: Hulot pour un repas végétarien un jour par semaine". Il est question de Nicolas Hulot, alors ministre de la non-Transition écologique au sein de la république bourgeoise de France.
• Le 5 février 2018, est publié "La révolte des enfants des végans" par Laurent Chevallier. Dans la courte partie accessible aux non-abonné·e·s (on ne veut pas donner de l'argent pour ça, il faut se respecter et ne pas subventionner les mauvaises choses), on peut lire entre autres ce qui suit : Comment réagiront les parents lorsque leurs enfants en grandissant leur demanderont pour les fêtes de pouvoir consommer une volaille, de la truite fumée ou tout simplement de façon courante un simple œuf à la coque et du fromage ? Étrangement la question n'est pas posée pour le respect de la propriété privée (par exemple pourquoi ne pas réquisitionner les logements vides pour les sans-abris ? les enfants insuffisamment formatés au dogme capitaliste pourraient en effet avoir ce genre d'idées blasphémiques) ou le respect des droits des femmes (certes on attendra pas Le Point d'être féministe, mais au moins son anti-féminisme sera mieux enrobé que n'est son spécisme totalement décomplexé).
• Le 8 février 2018, est publié "Aymeric Caron se lance en politique" par 6Medias.
• Le 8 juin 2018, est publié "Bientôt des préservatifs végans et sans gluten" par 6Medias. 2 marques sont citées : Green Condom et Fair Squared.
• Le numéro 2393, publié le 12 juillet 2018, a pour titre "Végétarien ou carnivore ? Ce que dit la science". Il comprend l'article "Pitié pour les végétariens" qui a été écrit par l'éditorialiste Franz-Olivier Giesbert.
• Le 22 octobre 2018, est publié (avec AFP) "Cantines: Guillaume contre un repas végétarien imposé". Il s'agit de Didier Guillaume, alors ministe de l'Agriculture de la république bourgeoise de France.
• Le 19 mai 2019, est publié "Belgique : gare aux parents qui imposent le véganisme à leurs enfants". Mais plutôt que lire ces conneries, mieux vaut lire Florence Dellerie
• Le 27 mai 2019, est publié "Européennes : « petit candidat », le Parti animaliste crée la surprise" de Valentine Arama.
• Le 23 aout 2019, est publiée la vidéo "Peter Singer, la zoophilie et les droits des animaux" sur sa chaine dite pour abonné·e·s chez l'ordinato-plateforme centralisée et privatrice DailyMotion.
• Le 24 aout 2019, est publié "[Peter] Singer : « La libération animale est une question politique majeure »" de Hugo Domenach.
• Le 5 septembre 2019, est publié "Le régime végétarien augmenterait le risque d'AVC".
• Le 6 octobre 2019, est publié "La viande rouge est-elle toxique ou non ?" par Géraldine Woessner.
• Le 29 novembre 2019, est publié "Michelin : la viande bannie d'un restaurant trois étoiles".
• Le 7 décembre 2019, avec mise à jour le 17 décembre 2022, est publié "L'incroyable foie gras au micro-ondes de Jean-François Piège". S'il a effectivement quelque chose d'incroyable, c'est l'énorme quantité de souffrance qu'il incorpore et extérieurement la cruauté de ses consommateur·e·s qu'il rend visible à celleux qui regardent et qui considèrent l'intérêt à ne pas souffrir des animaux sentients fussent-ils non-humains.
• Le 14 janvier 2020, avec mise à jour le lendemain, est publié l'article "Lozère : la résistance s'organise contre le repas végétarien".
• Le 3 aout 2020, est publié "Hugo Clément veut libérer les tigres de « Fort Boyard »" par Marc Fourny.
• Le 4 octobe 2020, est publié « La chasse à courre, c'est le cycle de la nature ». C'est une entrevue écrite d'Antoine Gallon par Thibaut Déléaz.
  • Le titre, donc ce qui est mis en avant, est bien illustratrice de la ligne conservatrice du journal. En effet, une pratique sociale, la chasse à courre en l'occurrence, est naturalisée. Peut-on s'opposer à la Nature ? Non. Ou si, mais c'est très mal. Mais après tout, le patriarcat est naturel, donc à fortiori le viol, n'est-ce du coup pas une autre face du magnifique (et à ne pas violer) cycle de la nature ? Mais mieux vaut ne pas trop compter sur Le Point pour le féminisme, mais son bien-aimé procédé de naturalisation pourrait lui poser problème, car il pourrait être utilisé contre lui avec un objet qui lui déplait, la lutte des classes par exemple.
  • Évidemment c'est une occasion assez unique d'aller à la rencontre de la faune sauvage . À cause des gauchiases, et de leur bien-pensance, on ne peut plus faire en de même pour la faune humaine, coloniser des territoires humains en vue d'apporter aux peuples la Civilisation n'est tristement plus bien vu (par les peuples qui l'ont déjà, et qui en privent donc les autres ! ; la Gauche contre le Progrès, comme d'habitude). Ne laissons pas se faire interdire d'aller découvrir la faune en violantant ses individus. Il n'y a pas du tout, ou presque pas, d'autres manières d'aller à sa rencontre, c'est une occasion assez unique. Le niveau de foutage de gueule est d'un bon niveau.
  • On nous prétend que la chasse ne serait pas de la maltraitance, et ce même du point de vue des chassé·e·s. En effet, ils ont toujours des prédateurs, c'est comme ça qu'ils se sont développés. Mais depuis quand l'humain n'en a plus ? À partir de combien de temps, ça ne serait plus ok ? Et surtout, en quoi l'histoire d'une espèce nous renseigne sur la pertinence morale de lui infliger un traitement ? En revanche, laisser son chien dans la voiture au soleil ou abandonner son chat , ça ce n'est pas ok, c'est de la maltraitance. Mais laissez à eux-mêmes, n'ont-ils pas des prédateurs, à fortiori si l'humain ne les envisage pas forcément comme des animaux de compagnie ? Leur domestication est-elle suffisamment ancienne ? Si oui, de quand date t'elle environ ? Certaines personnes domestiquent des lapins, pourtant ils sont chassés, élevés en vue d'être mangés et de leur arracher leur fourrure, et ça ne semble à priori pas être nouveau, alors les chasser n'est-ce pas de la maltraitance ? Mais surtout, en quoi la domestication, en quoi la propriété, nous éclairent sur la moralité d'infliger un traitement à un individu vis-à-vis de celui-ci et donc sur la manière dont on peut qualifier ce traitement ?
  • Mais certains mélangent tout. Ils voudraient qu'on traite la mère de Bambi comme mon chien de compagnie. Quelle horrible mélange ! Tuons la mère de Bambi et Bambi lui-même ! Le sport, le goût de leur chair, la fourrure, les bois, et les têtes que l'on va pouvoir empailler, ça le vaut bien, même si ce n'est absolument pas nécessaire. Mais ne le tolérons pas pour le chien, car… car… car pourquoi d'ailleurs ? Ils ressentent moins ou pas la douleur ? Ils n'aspirent moins ou pas à la vie ? Cela contribue au développement de l'espèce ? Mais si oui, pourquoi en priverez t'on le chien, ne serait-ce pas de la maltraitance de l'espèce ?
  • Un problème a été identifié : on est dans un contexte qui mélange tout sur la relation entre hommes et animaux, qui ne nous est pas favorable . Charles Darwin est enseigné à l'école, avec sa théorie de l'évolution des espèces, quelle dramatique erreur ! Mais en vrai, cette bataille contre ce dualisme est bien secondaire dans le point de vue animaliste, car ce qui est mis en avant c'est la sentience. L'humain est sentient, le singe non-humain est sentient, le cerf est sentient, le lièvre est sentient, le renard est sentient, le lapin est sentient, le boeuf est sentient, la vache est sentiente, le poulet et la poule sont sentient, le poisson est sentient, le chien est sentient, le chat est sentient, le rat aussi est sentient, etc.
  • Il y aurait des militant·e·s contre la chasse qui auraient une obsession pour le moment de la mort. Mais qui donne la mort ? n'est-ce pas le but ? ou l'unique moyen ?
  • Quand on doit tuer l'animal : et c'est quand les chasseurs et chasseuses doivent le faire ? à quelle(s) condition(s) peut se manifester cette soi-disant nécessité ?
  • Ce qui nous intéresse, c'est tout le reste [= pas la mort], de voir les animaux ruser pour échapper à leurs prédateurs, les chiens. Dans ce cas, pourquoi n'éduque t'on pas les chiens pour qu'ils se contentent d'attraper et ramener et qu'après ils relachent ? Cela occasionnerait tout de même du stress pour les chassé·e·s et il risquerait d'y avoir des mal-éduqués, mais ce serait alors bien moins pire et ça montrerait que la mort n'est pas recherché. Or, en l'état actuel des pratiques dominantes au sein du milieu de la chasse (qu'elle soit à courre ou non), il n'y a à priori pas cette recherche active d'éviter la mort. Et même si elle étaient activement poursuivie, ce qui serait bien moins pire pour les chassé·e·s, cela n'enlèvera pas le plaisir sadique de chasser des êtres sentients en l'absence de nécessité de survie.
• Le 5 novembre 2020, est publié (avec AFP) « Grippe aviaire: 45 départements placés en risque "élevé" ».
• Le 10 décembre 2020, est publié "L214 : la cause animale dévoyée ?" de Géraldine Woessner.
• Le 21 décembre 2020, est publié "Bien-être animal : « L214 casse la dynamique de progrès »" de Géraldine Woessner. Heureusement que ce brillant journal à la pointe du progrès est là pour nous éclairer, si l'on est naïf. Pour ce qui est du progrès, il est clairement indiqué dans l'article qu'il n'est pas à chercher en lui-même dans la réducation et à terme l'élimination (si c'est possible d'une façon durable) de l'exploitation et l'assassinat des animaux non-humains par l'humain, mais dans la transformation de ceux-ci (l'exploitation et l'assassinat) en des formes se voulant bien-êtristes. Néanmoins, remarquons que c'est dans la ligne de fait de L214, qui sinon ne s'attacherait pas à mettre en avant des formes particulièrement problématiques (ce qui sous-entend que c'est elles le problème et non l'exploitation et la mise à mort en tant que telles), alors que l'on peut considérer (par exemple avec Gary Francione) que le problème n'est pas la forme du traitement mais le traitement lui-même. Selon la même logique, certains ne voulaient pas abolir l'esclavage humain, mais seulement le rendre "humain" ou, pour les plus connards, "plus humain", c'était ça le progrès selon eux et non l'abolition (qui était l'apanage des extrémistes). Et, en partant de ce postulat, il était parfaitement logique de décrire, de mettre en avant et de dénoncer des formes d'esclavage humain "non-compassionnelles" (comme le fait entre autres L214, qualifiable de néo-welfariste dans le vocabulaire francionien) et du coup ne pas remettre en cause l'esclavage humain lui-même (et donc l'ensemble de ses formes, qui ne sont qu'un détail dans cette approche). Étrangement le même procédé pour les femmes ne serait pas toléré pour les femmes à gauche (compris là comme ensemble idéologique pure et non l'ensemble des individus qualifiables de gauche qui peuvent bien sûr ne pas être conformes, mais ces individus ont au moins tendance et tristement seulement tendance à s'en approcher au moins déclarativement), mais l'est parfois pour Le Point (qui a une part d'anti-féminisme, qu'avec un peu d'exagération / généralisation atemporelle on pourrait dire fait parti de son essence) avec une euphémisation de certaines violences patriarcales (et en conséquence, dit des trucs du genre être contre un féminisme dit radical ou extrémiste au profit d'un féminisme dit modéré qui lui serait adéquat, dont un exemple pourrait être la tribune de janvier 2018 « Nous défendons une liberté d'importuner, indispensable à la liberté sexuelle » publié par Le Monde), et ce sans le moins du monde (du point de vue abolitioniste) condamner des réformes à défaut en l'état de pouvoir faire mieux (mais sans proclamer que c'est l'objectif final et donc que les réformes sont suffisantes, car le cas échéant cela conforte l'exploitation de par le fait que celleux identifié·e·s comme ami·e·s des animaux non-humains s'en satisfassent et donc que ça incite à se dire que c'est vraisemblablement acceptable).
• Le 15 janvier 2021, est publié (en s'appuyant sur AFP) "Grippe aviaire: plus de 280 élevages infectés, principalement dans le Sud-Ouest".
• Le 19 février 2021, est publié "À Lyon, menu unique sans viande à la cantine" par Catherine Lagrange.
• Le 24 février 2021, est publié "Clermont-Ferrand : deux repas végétariens par semaine dans les cantines".
• Le 10 avril 2021, est publié "Qui veut la peau du cirque traditionnel ?" par Émilie Trevert.
• Le 5 juin 2021, est publié "Paul Sugy : « L'antispécisme est une impasse nihiliste »". Les propos auraient été recueillis par Laetitia Strauch-Bonart.
• Le 2 juillet 2021, est publié "Présidentielle 2022 : le Parti animaliste se lance".
• Le 3 aout 2021, est publié "Abandons d'animaux : la faute au confinement ?" de Jacques Paugam.
• Le 13 aout 2021, est publié "Des célébrités réclament la fin de la vente d'animaux, notamment en ligne" avec l'AFP comme source.
• Le 5 novembre 2021 est publié "Grippe aviaire: niveau de risque "élevé" en France, les volailles confinées" avec l'AFP comme source.
• Le 15 janvier 2022 (et avec mise à jour le 16), est publié "Hélène Thouy : « On ne va pas donner le droit de vote aux poules ! »" de Thibaut Déléaz et Emmanuel Durget.
• Le 31 janier 2022, est publié "États-Unis : la guerre du poulet qui fait trembler McDonald's" par Claire Meynial.
• Le 17 février 2022, est publié "Hélène Thouy, candidate activiste du Parti animaliste" par Thibaut Déléaz.
• Le 11 mars 2022, est publié (en s'appuyant sur AFP) "Le Grand Ouest frappé par la grippe aviaire, des millions d'animaux condamnés".
• Le 29 mars 2022, est publié "Grippe aviaire : « Ça sent la mort dans le village », l'ouest de la France submergé" par Charles Guyard.
• Le 4 avril 2022, est publié "Kervasdoué – Quelle alimentation pour demain ?" par Jean de Kervasdoué.
• Le 31 mai 2022, est publié "Paris : la Ville va imposer deux repas végétariens dans les cantines".
• Le 27 aout 2022, est publié "Le Conseil d'État accorde un sursis à l'appellation "steak" pour les produits végétaux".
• Le 14 aout 2022, est publié "Une ville anglaise signe le traité international pour le véganisme". Le chapô contredit le titre, car il est question dece traité qui promeut l'alimentation végétale face au changement climatique. En effet, le véganisme ne se borne aucunement à l'alimentation, mais est sur tous les aspects de la vie. De plus, son objectif est de ne pas aller contre les intérêts des animaux dans la mesure du possible et non de faire faire face au changement climatique. Et quand on lit le traité lui-même, il n'est question ni véganisme ni d'anti-spécisme, l'objectif est purement écologique et il n'est pas dit que pour l'atteindre il faudrait passer au véganisme. Pour faire vite fait des articles et avec des titres accrocheurs, les journaux bas de gamme, comme Le Point, prennent quelques libertés avec la vérité, mais s'offusquent de fausses informations quand c'est fait hors du champ médiatique dominant.
• Le 23 aout 2022, est publié "États-Unis : du jus d'orange non végan crée la polémique".
• Le 24 septembre 2022 (avec mise-à-jour le 25), est publié "États-Unis : faute de succès, McDonald's arrête son burger sans viande". Il ne s'agit pas d'un burger au poisson (qui existe aussi probablement), mais d'un burger végétarien (qui en guise de steak utiliserait un simili-carné par Beyond Meat), donc pas juste sans viande mais plutôt sans cadavre. En revanche, il contient du fromage, donc il n'est pas végétalien. D'après l'article, seulement 2% de la population serait végétarienne et pas végétalienne, alors que les végétarien·ne·s au sens large représenteraient elleux 5%, c'est-à-dire qu'il y aurait 3% de végétalien·ne·s, donc plus de végétalien·ne·s que de lacto-ovo-végétarien·ne·s, donc se passer des végétalien·ne·s à cause du fromage parait particulièrement stupide dans ce contexte (même si bien sûr les non-végétariens peuvent tout à fait consommer des simili-carnés, notamment par environnementalisme comme le met en avant l'article, mais entre celleux qui s'en foutent même idéellement et celleux qui misent exclusivement sur la modification par en haut des structures… qui se retrouvent in fine être un échappatoire facile à l'inaction à part pour la minorité qui a au moins le mérite d'agir politiquement au-delà de la pure discussion, contrairement notamment aux slacktivistes) si les chiffres données sont à peu près exacts. Mais l'article n'est pas foutu de faire remarquer ça, préférant pointer une absence de considération pour la différence d'empreinte carbone et le refus de certains États de l'usage du mot steak pour des substituts sans cadavre, ce qui (ô surprise) s'inscrit très bien dans une ligne de droite (qui combat le plus souvent la sobriété matérielle et le véganisme, mobilisables ensuite pour dire que les gens n'y adhérent pas, mais évidemment sans mentionner sa contribution à la chose et plus exactement là de ses homologues).
• Le 12 octobre 2022 vers 14h, est publié (en s'appuyant sur AFP) "Grippe aviaire: plus de 300.000 volailles d'élevage abattues depuis le 1er août".
• Le 12 octobre 2022 vers 19h, est publié (en s'appuyant sur AFP) "Grippe aviaire: déjà plus de 300.000 volailles d'élevage abattues depuis l'été".
• Le 31 octobre 2022, est publié (en s'appuyant sur AFP) "Angleterre : les volailles confinées en raison de la grippe aviaire".
• Le 26 novembre 2022, est publié "Corrida : les Français favorables à son interdiction" par Alice Pairo-Vasseur.
• Le 17 janvier 2023, est publié "La Savoie réalise la plus grosse tartiflette végane du monde".
• Le 29 janvier 2023, est publié "Pourquoi Sea Shepherd se retrouve en eaux troubles" par Erwan Seznec.
• Le 3 mars 2023, est publié "Faut-il devenir végétarien pour une meilleure santé ?" par Boris Hansel avec Guillaume Paret.
• Le 19 juillet 2023, est publié "Chat écrasé à [la gare] Montparnasse [à Paris] : la SNCF fait appel de sa condamnation" par Hugo Romani avec l'AFP.
• Le 5 septembre 2023, est publié "« Steak végétal », « jambon végétal », « saucisse végane » : des appellations en voie de disparition ?" par R.K. avec l'AFP.
• Le 16 novembre 2023, est publié "Hugo Desnoyer, boucher français: défendre la viande à contre-courant".
• Le 22 décembre 2023 au matin, est publié "Laïcité : le maire de Marignane [Éric Le Dissès] impose la viande dans les cantines et suscite la polémique" par V.D. avec l'AFP.
• Le 22 décembre 2023 en fin d'après-midi, est publié "À Noël, mangez ce qui vous plaît !" par Boris Hansel (pour à priori la recherche et l'écriture) et Guillaume Paret (pour que la vidéo semble t'il). C'est certes fait sous le prisme de la santé, de la santé humaine bien sûr et que d'elle. Cependant le titre n'en reste pas moins libertarien. De plus, il est proposé de manger la dinde sans la peau, puis de se caler avec un œuf dur avant le repas.
• Le 29 décembre 2023, est publié "Faut-il privilégier le foie gras d’oie, de canard ou végétarien ?" par Boris Hansel (pour à priori la recherche et l'écriture) et Guillaume Paret (pour que la vidéo semble t'il).
• Le 27 février 2024, est publié "« Steak végétal » : les termes liés à la viande interdits sur les étiquettes des produits végétaux" par Valentin Dechambre. Il y est question du décret n°2024-144.
• Le 19 juin 2024, est publié "Grippe aviaire : pourquoi l'Europe commande des vaccins par Caroline Tourbe.

Références externes

• Site web officiel
• Wikipédia, l'encyclopédie libre
• Bibliothèque nationale de France